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“J’incite les jeunes à entamer une conversation avec des Gantois”

“Lorsque j’étais moi-même encore en secondaire, j’étais toujours heureuse de pouvoir sortir de la classe pour apprendre quelque chose d’une manière différente”, explique Helena Van Wyk (22 ans), guide en néerlandais des visites de ville à Gand. Apprendre aux élèves de manière décontractée, c’est bien ce qui les motive.

“Une visite de ville peut se faire dans une ambiance plus informelle qu’en classe”, estime Helena, “je veux surtout que mon groupe francophone découvre Gand d’une manière amusante et qu’en même temps de nouveaux mots soient appris.”

Tableau et feutre

“J’ai une écritoire et un feutre sur lequel je dessine les histoires que je raconte sur Gand. Cela crée l’hilarité de mon groupe, surtout parce que je ne suis pas une très bonne dessinatrice.”

“Le point culminant de la visite de la ville se trouve dans la ruelle des graffitis. C’est inévitable, les jeunes prennent plein de photos pour les mettre sur Instagram.”

Walter De Buck

“Parfois j’organise une petite compétition. Je mets les jeunes au défi d’engager une conversation avec le plus grand nombre possible de Gantois. Un groupe a même réussi à faire chanter une chanson de Walter de Buck par des personnes âgées. C’était vraiment formidable à voir et à entendre.”

Ambiance décontractée

“Parfois des enseignants me mettent en garde contre un élève ‘difficile’. Mais vu que la visite de la ville se fait dans une atmosphère détendue, qui ne demande pas une concentration constante, avec le divertissement en priorité, je n’ai jamais eu un élève difficile dans mon groupe, bien au contraire.”

“Les réactions des élèves sont donc toujours très positives. Beaucoup de jeunes remplissent le formulaire d’évaluation en disant qu’ils trouvent Gand une ville fort propre et très sympa.”